Mission

En résumé de ce que vous trouverez ci-dessous, voici les principales motivations qui m’ont poussées à développer et enseigner la PrestoLecture, en dépit de toutes les voix bienveillantes qui me disaient que “ça ne marcherait jamais” lorsque je démarrais:

  • Mieux lire, c’est vivre mieux, et la PrestoLecture existe pour donner à chacun la possibilité de choisir son destin.
  • Choisir son destin rime pour beaucoup avec participer à la construction d’un monde meilleur.
  • Nous avons besoin de nouveaux outils, d’une utilisation différente de notre cerveau pour faire face aux défis de demain.

Vous libérer du stress ou de la surcharge cognitive fait également partie des missions de la PrestoLecture.

  • Je souhaite influencer la manière et le contenu de ce qu’on enseigne à nos enfants.
  • Je souhaite participer à la réconciliation des prestolecteurs avec leur inconscient: travailler avec lui plutôt que sans lui ou contre lui.
  • Apprendre avec joie et légèreté permet d’apprendre mieux… et d’arrêter de souffrir!
  • Nous n’apprenons pas bien si nous sommes déconnectés de notre corps… prestolire, c’est faire un pas vers une reconnection esprit, coeur et corps… et vers un meilleur équilibre de vie au quotidien.

Nous vivons une époque merveilleuse, où l’information circule à une vitesse jamais égalée jusqu’à présent.

Lire, sur le web ou dans des livres, permet de se former (ou s’auto-former) de façon qualitative, et presque gratuite.

En dépit de mes facilités pour les études, j’ai fait le choix de ne passer que trois ans sur les bancs de l’université.

Ma capacité à apprendre m’a permis de développer des connaissances, des savoirs-faire, des savoirs être, qui m’ont amenée à créer mon entreprise, et enseigner la PrestoLecture à des doctorants, des chercheurs, l’adjoint d’un ambassadeur, des juristes, des chefs d’entreprise, des médecins… qui étaient plus diplômés que moi!

Livres

Savoir apprendre au travers de ses lectures, y investir peu de temps pour un important retour sur investissement, c’est avoir la possibilité de choisir son destin.

Activation

J’ai développé et je continue d’enseigner la PrestoLecture pour donner à chacun la possibilité de choisir son destin, d’évoluer tout au long de sa vie, de faire progresser ses connaissances.

Mieux lire, c’est vivre mieux.

La quantité d’information accessible pour tout un chacun, et la vitesse à laquelle l’innovation s’immisce dans tous les domaines de la connaissance, génère chez beaucoup de professionnels et d’étudiants un stress important.

Vous savez de quoi je parle si vous avez tendance à adopter l’une ou l’autre de ces attitudes:

  • Vous accumulez les livres et les documents à lire, sans jamais les traiter. Cela génère un stress à chaque fois que vous ouvrez le dossier “à lire” dans votre ordinateur, ou à chaque fois que vous passez devant votre bibliothèque. Vous aimeriez lire davantage, mais au fond, vous avez abandonné.
  • Vous êtes un boulimique de l’information: vous lisez beaucoup, vous consacrez beaucoup de temps à vous documenter sur votre domaine d’expertise ou sur tout un tas d’autres sujets, mais vous faites parfois face à une surcharge cognitive: vous passez par des phases de saturation, ou “plus rien ne rentre”.

Ce mauvais stress n’est bon ni pour votre santé, ni pour vos performances en matière de lecture.

Libérer un maximum de personnes du stress ou de la surcharge cognitive fait également partie de la mission que je me suis donnée.

Nous avons besoin de nouveaux outils, d’une utilisation différente de notre cerveau pour faire face aux défis de demain.

Je souhaite influencer la manière dont on enseigne à nos enfants.

Lorsque j’étais enfant, j’adorais aller à l’école, et je garde globalement de bons souvenirs autant de ce que j’apprenais en salle de classe qu’en cours de récréation.

Mes parents étaient enseignants, et j’avais probablement inconsciemment reçu les clés pour bien apprendre, et j’avais des facilités.

  • J’étais pourtant frustrée de voir que certains de mes camarades, si vifs sur le terrain de foot ou drôles dans nos jeux, devenaient soudainement “bêta” une fois assis dans la salle de classe.
  • Je voyais bien qu’ils n’étaient pas bêtes, et en voyant leur confiance en eux s’effriter au fil des années, je me demandais pourquoi on ne leur avait pas tout simplement appris comment on apprend, comment on se concentre, à quoi ça sert… avant de leur farcir le crâne de chiffres, de dates, et de conjugaisons.
  • Je me demandais également pourquoi on ne leur proposais jamais d’apprendre autrement, pourquoi on ne valorisait pas une manière d’apprendre plus en phase avec leur personnalité.
  • Je ne comprenais pas pourquoi ils étaient toujours sanctionnés, alors qu’à mes yeux, quelques ajustements simples leur auraient permis de mieux réussir.
  • Je me voyais déjà, adulte, accompagner des maîtresses dans la mise en place de manières plus efficaces d’enseigner.
Photolecture

De nombreux prestolecteurs me demandent pourquoi je ne propose pas mes services dans l’éducation nationale.

Ma réponse est simple:
je suppose qu’il est un peu trop tôt pour que l’Éducation Nationale s’intéresse à la PrestoLecture, et j’estime de mon devoir de mettre de l’énergie là où elle sera vraiment utile.

Nous sommes encore loin de l’école de l’apprendre à apprendre et de l’égalité des chances.

La PrestoLecture est une véritable méthode d’apprentissage accéléré… et amélioré.

En enseignant à des adultes: parents, instits, profs, bloggeurs: je souhaite participer à une prise de conscience qui influencera l’enseignement du futur.

Preactivation

Je pense que l’éducation sera une de nos meilleures armes contre l’obscurantisme, l’intolérance, la pollution, la pauvreté, la maladie, la dépression… si on décidait d’éduquer dans le but de construire un monde meilleur.

Permettre à quelqu’un d’apprendre à apprendre, ce n’est pas seulement lui donner les clés d’une vie meilleure: c’est lui permettre de participer à la construction d’un monde meilleur, c’est lui donner le POUVOIR de changer le monde.

C’est la raison pour laquelle développer la PrestoLecture relève pour moi davantage d’une “mission” que je porte avec enthousiasme et détermination que d’un simple métier.

Apprendre à prestolire, c’est aussi apprendre à mieux se connaître. C’est développer une relation nouvelle avec son inconscient.

La photolecture, une des étapes de la PrestoLecture, consiste à “photographier mentalement” les pages d’un document, pour envoyer l’information directement dans l’inconscient avant que notre partie consciente y ait accès.

On compte alors sur la capacité incroyable de traitement de l’information de notre inconscient, pour qu’il nous facilite la tâche (de comprendre ou d’intégrer l’information) lorsqu’on reviendra ensuite sur le document de façon consciente.

Avant d’apprendre à prestolire, je percevais mon inconscient comme un “saboteur”, qui créait d’inconfortables conflits internes.

Certains étaient inconfortables au quotidien (alors que je souhaitais me montrer sous mon meilleur jour face à un garçon séduisant, je devenais nerveuse, un peu stupide, et carrément maladroite.

D’autres semblaient carrément vouloir fair de ma vie un enfer (j’avais parfois tellement peur que ma réussite puisse insécuriser d’autres personnes que dans des situations où je connaissais quelqu’un qui risquait d’être malheureux “à cause de moi” si je réussissais, je finissais toujours, en dépit de ma volonté et de mes efforts conscients, à échouer à quelques mètres du but).

La photolecture m’a d’abord apporté une meilleure vitesse et une bien meilleure qualité de lecture.

A force de l’utiliser, j’ai fini par changer de point de vue sur mon inconscient: j’ai compris qu’il pouvait être un allié puissant dans ma réussite.

J’ai poursuivi la “communication” qu’on instaure avec l’inconscient en photolecture en dehors de mes activités de lecture.

C’est cette alliance, cette communication avec l’inconscient que je souhaite également transmettre.

Le temps est venu pour l’humanité d’apprendre à vivre avec ces parties de nous-même que l’on ne voit pas, que l’on ne peut pas toucher… et qui font pourtant partie intégrante de qui nous sommes.

Préparation

“N’allez jamais vous coucher sans formuler une requête à votre subconscient”

Thomas Edison

Homme qui réfléchit

Certaines personnes vivent des conflits internes qui bloquent leur apprentissage.

Elles font tout ce qu’il faut pour obtenir de bons résultats, mais se trouvent complètement bloquées soit au moment d’apprendre, soit au moment de restituer ce qu’elles ont appris.

Nous pouvons désirer ardemment réussir, de façon consciente, et avoir des représentations du monde qui entrent en conflit avec ce désir de réussite.

Des idées telles que:

“on réussit toujours au dépend de quelqu’un d’autre”,

“les puissants sont ceux qui causent la souffrance dans le monde”,

“on est plus en sécurité si on reste caché”,

“entrer dans l’âge adulte correspond à entrer dans un monde de requin” (pour les étudiants)

ou “prendre son indépendance, c’est prendre le risque d’échouer dans la vie”

… peuvent bloquer votre réussite.

La PrestoLecture n’est pas une thérapie.

Elle ne vous permettra pas de régler ces conflits s’ils sont trop présents.

Elle est cependant un bel outil pour informer votre inconscient de vos objectifs, et éviter qu’il bloque votre apprentissage.

J’ai moi-même vécu ces blocages, notamment lorsque j’étudiais des matières comme la gestion et la comptabilité… et je souhaite, dans la mesure du possible, permettre à d’autre de s’en affranchir.

Avant d’apprendre à prestolire, je percevais mon inconscient comme un “saboteur”, qui créait d’inconfortables conflits internes.

Certains étaient inconfortables au quotidien (alors que je souhaitais me montrer sous mon meilleur jour face à un garçon séduisant, je devenais nerveuse, un peu stupide, et carrément maladroite.

D’autres semblaient carrément vouloir fair de ma vie un enfer (j’avais parfois tellement peur que ma réussite puisse insécuriser d’autres personnes que dans des situations où je connaissais quelqu’un qui risquait d’être malheureux “à cause de moi” si je réussissais, je finissais toujours, en dépit de ma volonté et de mes efforts conscients, à échouer à quelques mètres du but).

La photolecture m’a d’abord apporté une meilleure vitesse et une bien meilleure qualité de lecture.

A force de l’utiliser, j’ai fini par changer de point de vue sur mon inconscient: j’ai compris qu’il pouvait être un allié puissant dans ma réussite.

J’ai poursuivi la “communication” qu’on instaure avec l’inconscient en photolecture en dehors de mes activités de lecture.

C’est cette alliance, cette communication avec l’inconscient que je souhaite également transmettre.

Le temps est venu pour l’humanité d’apprendre à vivre avec ces parties de nous-même que l’on ne voit pas, que l’on ne peut pas toucher… et qui font pourtant partie intégrante de qui nous sommes.

Enfant qui lit

Il est plus efficace d’apprendre dans la joie.

… et ça, les adultes ont tendance à l’oublier.

Traiter l’information écrite de façon ludique, c’est remettre de la légèreté dans notre travail. Nous pouvons êtres performants sans tension, sans forcer. C’est cela, aussi, que je montre aux apprentis prestolecteurs.

Le cerveau est un organe du corps.

Il n’en est pas détaché.

Lorsque nous sommes engagés dans un travail intellectuel, nous avons tendance à oublier que notre corps ne sert pas uniquement à déplacer la tête d’un point à l’autre.

Quelqu’un qui apprend bien est quelqu’un qui est bien “connecté” avec son corps.

Cette connexion nous permet d’être beaucoup plus efficace dans l’assimilation de données nouvelles.

Dans une société où nous demandons à nos enfants de rester assis sept heures par jour – ce qui n’est absolument pas naturel pour l’enfant – nous avons tendance à maintenir cette connection corps – esprit à l’âge adulte.

Apprendre à prestolire, c’est aussi apprendre à réunir toutes les parties de nous-même lorsqu’on intègre de l’information nouvelle. Le corps en fait partie.

Il a fallu que je frôle la mort et que je vive plusieurs mois de souffrance pour sentir à quel point j’étais déconnectée de mon corps, et pour y remédier.

Si je peux transmettre ne serait-ce qu’à doses homéopathiques l’importance de la connexion au corps pour l’esprit et la performance intellectuelle… alors je me sens également en devoir de le faire.

… vous l’aurez compris, je suis une grande optimiste.

Certains me qualifieront peut-être d’utopiste.

Je crois en l’humanité, et en sa capacité à s’affranchir de la peur et de l’ignorance pour devenir meilleure.

C’est ce à quoi je contribue avec la PrestoLecture, et c’est une valeur que je partage avec les personnes qui se rassemblent autour de ce projet pour un avenir meilleur.

Ils me font confiance pour les former